Circuit randonnée pédestre de 6 jours, 5nuits sur le Chemin de Compostelle.
Au-delà de St-Jacques de Compostelle, le Chemin continue jusqu'au "bout des terres": rejoignez à pied le cap Finisterre et son célèbre phare, le long des falaises et plages de la Galice.
De Santiago de Compostela jusqu'à... la Fin de la Terre. Le cap Finisterre, là où d'après la légende, le corps de l'apôtre Jacques serait arrivé par la mer avant d'être enterré par quelques fidèles à Compostelle. Mais la légende continue jusqu'au beau village côtier de Muxìa, où la Vierge est apparue à Jacques plusieurs années auparavant. Pour nous, c'est l'émotion de finir le Chemin jusqu'à l'Océan; la beauté de cette côte rocheuse, sauvage et déchiquetée mérite de prolonger le plaisir de notre périple.
Une question sur ce séjour ?
Programme
Jour 01 : Santiago de Compostella
Arrivée à Santiago de Compostela.
Jour 02 : Santiago - Negreira
Etape de Santiago de Compostela à Negreira en passant par Ponte Sarela, et la petite région d'Amaia, chantée par la poétesse galicienne Rosalìa de Castro.
Vous traverserez le pont médiéval de Aguapesada et dans un paysage de petites montagnes et hameaux vous arriverez à Negreira.
Horaire : 5 h 00 Distance : 21 km
Jour 03 : Negreira - A Picota
En suivant en partie un ancien chemin royal. De belles églises à Zas, à Pena et Vilaserio...
En arrivant à Vilar de Castro, vous emprunterez une variante nouvellement balisée, vous permettant de regagner à Picota, votre étape du soir, et de retrouver le Camino le lendemain matin.
Horaire : 7 h 00 Distance : 28.5 km
Jour 04 : A Picota - Cée
En début d'étape, vous récupèrerez le Chemin initial au niveau du pont de Ponte Olveira. Des hameaux, de petites églises et anciens ponts jalonnent ensuite votre chemin qui débouche à Cée, au bord de la " Ria de Corcubiòn ".
Temps de marche : 6h. Distance : 23km.
Jour 05 : Cée - Fisterra
En passant par la Croix de Marco de Couto et plusieurs ermitages, descente spectaculaire du Mont da Armada vers Fisterra.
Puis vous marcherez jusqu'au mythique Finisterre, la "fin du monde" dans la "Costa da Morte" et pourrez accrocher un morceau de tissu au célèbre phare, tradition chère aux pélerins
Horaire : 4 h 00 Distance : 16 km
Jour 06 : Fisterra
Fin du séjour après le petit déjeuner
Day 01 : Santiago de Compostela
Arrival in Santiago de Compostela.
Day 02 : Santiago de Compostela - Negreira
From Santiago to Negreira. You'll pass by Ponte Sarela and the region of Amala know from the poems of the galician poet Rosalia de Castro. After crossing the medieval bridge of Aguapesada you continue your walk among small mountains and villages to Negreira.
Walking time : 5h. Distance : 21km.
Day 03 : Negreira - A Picota
From Negreira to Abeleiroas partly on the Camino Real with beautiful churches in Zas, Pena and Vilaserio. At Abeleiroas you'll meet the owner of the accommodation who'll drive you to his hotel in Picota (3km).
Walking time : 7h. Distance : 28.5km.
Day 04 : A Picota - Cée
From Abeleiroas to Cée. You are brought back to Abeleiroas to continue your walk through villages with their small chuches and ancient bridges to Cée situated by the "Ria de Corcubiòn".
Walking time : 6h. Distance : 23km.
Day 05 : Cée - Finisterra
Walking by the Cross of Marco de Couto and several hermitages you'll escend the spectacular Mount da Armanda towards Fisterra to finaly arrive at the mythical Finisterre ; "the end of the world" at "Costa da Morte". End of trip. Optional night in Finisterre upon request and with supplement.
Walking time : 4h. Distance : 16km.
COMPLEMENT DE PROGRAMME
Des éléments indépendants de notre volonté (météo, niveau du groupe, aléa logistique, divers...) peuvent amener notre équipe à modifier le programme. Nous demeurerons attentifs à votre satisfaction mais votre sécurité sera systématiquement privilégiée.
Prestations particulières : Sur demande, nous pouvons réserver une ou plusieurs nuits supplémentaires.
LES POINTS FORTS
- La fiabilité de l’organisation
- La qualité des hébergements
- Les dîners inclus
- Dernière nuit incluse pour profiter du site magique du Cap Finisterre
POUR EN SAVOIR PLUS
FORMALITES
Demandez impérativement, au minimum 15 jours avant votre départ, à la sécurité sociale une carte européenne ou une attestation européenne valable 3 mois ; cela vous évitera de faire l'avance d'éventuels frais médicaux en Espagne qui restent, quoi qu'il arrive, à votre charge. Pensez à apporter votre pièce d’identité ou votre passeport.
Sachez enfin que si vous venez en Espagne en voiture, il est obligatoire d’avoir 2 triangles de signalisation dans son véhicule et 1 gilet de signalisation réfléchissant ; en cas de non-respect de cette réglementation, les amendes sont élevées, et doivent être payées sur place. Ne vous séparez jamais de vos papiers, carte bancaire et documents d’assurance.
Frais médicaux
Avant de partir, tenez compte de la possibilité de prise en charge des frais médicaux à l’étranger. Par exemple, si vous vivez en France, vous pouvez demander à la sécurité sociale une carte européenne ; cela vous évitera de faire l'avance d'éventuels frais médicaux à l’étranger qui restent, quoi qu'il arrive, à votre charge. Pensez à apporter votre pièce d’identité ou votre passeport.
Le carnet du pèlerin ou « credencial » ou « créanciale » :
ce document est bien connu des pèlerins, il permet de garder une trace écrite de son parcours. Ce passeport est un signe fort d’appartenance à la communauté des marcheurs du Saint Jacques. Il est à tamponner à chaque étape et atteste de votre état de pèlerin. Il est délivré par les associations jacquaires - site Internet :
Environnement :
Les randonnées se déroulent le plus souvent dans des espaces naturels sensibles ; à ce titre toute activité se doit d'en respecter l'environnement : respect du patrimoine naturel, respect du patrimoine culturel et des habitants, respect des ressources naturelles (eau, sols, habitats, faune, flore, climat) et lutte contre les pollutions et tous les impacts sur l'environnement : on ne dérange pas les animaux qui sont chez eux et on n'arrache pas les fleurs car elles ne repoussent pas !
TELEPHONE PORTABLE
Attention, les téléphones portables ne passent pas partout, il est prudent de se munir d’une carte téléphonique.
POUR TELEPHONER EN FRANCE
Pour téléphoner en France depuis l’Espagne, composez l’indicatif international 00, puis l’indicatif de la France 33, puis votre numéro de téléphone en enlevant le premier 0.
LA VIE EN ESPAGNE
Vous allez effectuer une randonnée en territoire espagnol. Il est conseillé de parler un peu espagnol pour mieux apprécier le séjour, sans toutefois devoir manier à la perfection la langue de Cervantès. Un petit dictionnaire français/espagnol ne sera pas superflu. La monnaie est l’Euro. Sachez aussi que les habitudes culinaires espagnoles sont parfois assez différentes des françaises. Et que les repas sont retardés jusqu’à 2 heures sur l’horaire français (petit-déjeuner vers 8h30-9h et le souper vers 21h).
INFORMATION SUR LA REGION
LA GALICE
La région et le climat :
Le climat de la Galice est assez doux. Il n’y fait jamais ni trop froid ni trop chaud, avec une température moyenne de 14,4º C. Précipitations moyennes : 1404,8 l/m2. Alors… n'oubliez pas la cape de pluie !!!
Le Pays d'Occident
Sous la lueur obscure et mystérieuse de l’Atlantique, à l’extrémité occidentale de l’Europe, il y a un pays de verdure qui s’incline devant l’Océan. C’est ici que les Grecs situèrent le bout du Monde Ancien. Homère affirmait que le soleil y complétait son tour avait de ressortir en orient, le lendemain. Située au sud de la mer Celtique, au nord du pourtour méditerranéen, la Galice a forgé une culture à la croisée de ces deux mondes. Au nord du Portugal, au nord-ouest de l’Espagne, il y a un petit pays - à peine trois heures en voiture pour le parcourir du nord au sud - qui se distingue par ses contrastes et ses surprises à chaque détour. Les Galiciens aiment à dire que chaque maison est un monde, que chaque pierre a une histoire et que chaque herbe cache un espace naturel. La Galice, un pays marqué par un fonds inépuisable d’expériences.
Là où commence la mer
"Face à cette mer déchaînée, les Galiciens, nous sentons toute l’Europe derrière nous." Ce pays renferme les falaises les plus hautes du continent, mais il est aussi marqué par l’union féconde de la mer et de la terre, les "rías", de singulières formations où l’océan se calme pour pénétrer à l’intérieur du pays, qui y fait surgir la vie qui coule dans les rues des villages marins et sur le sable infini des plages du littoral. C’est ici, entre les détours que forme la géographie baroque de la côte, que résident la plupart des Galiciens, qui jettent à la mer mille et une saveurs, une richesse de poissons et de fruits de mer, transformés en les plus savoureux du monde par les eaux de l’Atlantique.
Plus de la moitié du territoire est situé à plus de 400 m d’altitude. Les sierras orientales renferment les plus grands sommets dont Pena Trevinca, qui atteint 2.100 m.
Avec à peine 5,90% de la superficie de l’Espagne, la Galice renferme plus de la moitié des agglomérations de l’Etat espagnol. En 1996, elle en comptait 20.947 dont certaines d’une seule maison.
Le territoire du pays compte 3.781 paroisses (unité de base de la population, articulée autour d’une église), 315 mairies, 53 contrées et 4 provinces.
La masse forestière de la Galice représente 30% du total de tout le territoire espagnol.
Le lait produit en Galice représente 30% du total de la production espagnole.
Une terre humanisée
De vieilles montagnes au relief usé par l’érosion et des vallées à la végétation luxuriante où coulent mille rivières. La verdure claire des prairies, le vert émeraude des cultures, le vert foncé des forêts. Ici et là, se dressent de petites propriétés où l’on cultive la pomme de terre, le maïs, ainsi que des vergers et des vignobles, des cultures qui ennoblissent les rives des grands cours d’eau. Sur les coteaux, la masse forestière, au milieu, les prairies où paissent les vaches, les animaux totémiques de la Galice agricole. Voilà un paysage que les Galiciens considèrent volontiers humanisé, où les distances ne sont jamais très grandes et où les sites sauvages ne sont jamais très étendus. Dans les endroits les plus éloignés, les terrains rocailleux, la forêt ancienne et mystérieuse.
Les forges de la force
Le sang des paysans coule toujours dans les rues des villes et des grandes agglomérations : nos aïeux étaient des paysans. Quatre-vingt-dix pour cent de la population galicienne habitait encore le milieu rural en 1900. Mais de nos jours, la plupart des Galiciens habitent le milieu urbain. Le pays s’accroît dans des villes qui ont grandi autour de centres historiques d’une grande beauté, où surgit la créativité économique et culturelle du pays. Cet essor atteint des proportions universelles dans des endroits comme la vieille ville de Saint-Jacques-de-Compostelle -la capitale historique et administrative-. Tournées vers la mer, La Corogne et Vigo sont les deux principales agglomérations du pays ; Lugo, Ourense, Pontevedra et Ferrol se distinguent par leur activité industrielle et de services, outre leur traditionnelle fonction administrative. Dans toute la Galice, les cités médiévales conservent leur charme tout en se développant à l’instar des villes surgies au XIXe siècle. Elles jouent un rôle à la fois industriel et local.
Tradition et innovation
On dit des Galiciens qu’ils répondent toujours à une question par une autre question. Même dans les paroles de l’ hymne de Galice, le poète Pondal interroge les arbres, les sommets et les montagnes, l’éclair transparent. Les Galiciens sont curieux et d’habitude, lors d’une simple conversation, le voyageur finit toujours par parler de lui, de son pays, de son travail. La vie tourne aussi autour du travail. Une tradition agricole et de pêche, modernisée depuis, veut que les Galiciens érigent des industries basées, non seulement sur leurs propres ressources, mais encore sur l’innovation et la créativité. L’industrie agro-alimentaire est celle qui compte le plus d’entreprises et de travailleurs, à tel point que son origine remonte à la salaison et à la conservation du poisson, au XVIIIe siècle. Les chantiers navals sont dirigés vers l’exportation et atteignent de nos jours un degré de spécialisation qui lui accorde une productivité élevée. Mais c’est le secteur automobile qui arrive en tête en ce qui concerne le chiffre d’affaires et les exportations ; la situation stratégique de la Galice sur les routes maritimes a favorisé l’aménagement d’une usine qui produit des milliers de voitures par jour. Pourtant, c’est la créativité des firmes de mode qui a permis à la Galice d’obtenir une plus grande présence publique sur les marchés du monde entier.
La partie de l’ancienne Galice située au sud du fleuve Minho devint le royaume du Portugal en 1121. L’église romane la plus ancienne de Galice est la petite chapelle de San Juan de Vilanova, Pontedeume, qui remonterait à 1040.
En 1075, fut posée la première pierre de la cathédrale romane de Saint-Jacques-de-Compostelle, consacrée en 1211.
Une chanson de Xoán Soares de Pavia, composée en 1196, est le texte littéraire galicien le plus ancien que l’on conserve. On a répertorié 170 auteurs de chansons médiévales.
Le galicien est la langue de Galice, mais les Galiciens parlent également le castillan.
Les enfants de Bréogan
C’est un ancêtre de Brutus, l’assassin de César, le premier général romain à atteindre la Galice en 139 av. J.-C.. Le poète Ovide raconta de la sorte cette rencontre : -à l’époque, Brutus prit le surnom de son ennemi galaïque et fit couler le sang sur les terres hispaniques-.
Cela faisait 4000 ans que la culture mégalithique existait dans ce pays, comme en témoignent les dolmens ; cela faisait 2000 ans qu’un ancêtre quelconque avait peint des cerfs, des hommes et des cercles sur les pierres plates de granite. ; cela faisait déjà sept siècles que les camps fortifiés de l’âge de fer avaient été érigés sur les coteaux galiciens : Jules César dut les affronter en débarquant dans l’ancienne ville de La Corogne. À la fin du I siècle av. J.-C., Auguste prit la tête de son armée pour intégrer définitivement dans l’Empire les Galiciens des « castros » (camps fortifiés), les descendants du mythique roi Breogán que citent les chroniques irlandaises et auquel le poète Eduardo Pondal rend hommage dans l’hymne galicien.
Le sourire de Daniel
Les Galiciens considèrent le bas Moyen Age comme leur siècle d’or. C’est une période de prospérité dans toute l’Europe. L’agriculture se développe et se modernise, le commerce se généralise et l’art connaît un essor florissant dans tout le continent, en apprenant à sourire avec la figure de Daniel sur le Porche de la Gloire (1188) de la cathédrale Saint-Jacques, qui était tombé dans l’oubli pendant trois siècles ; l’art roman, devenu le style international par excellence, atteint précisément son apogée dans le royaume médiéval de Galice. La grande créativité collective des Galiciens remonte également à cette époque : c’est alors qu’ils commencent à parler le galicien, une langue romane issue du latin et similaire au portugais. Cette langue atteint sa maturité littéraire au XIIIe siècle, avec les chansons dites "cantigas" qui constituent un énorme recueil de poésies composées par des rois, des nobles et des troubadours. Il s’agit donc d’un patrimoine d’une valeur extraordinaire pour l’histoire littéraire de l’Europe. Saint-Jacques-de-Compostelle fut comparée à Rome et à Jérusalem, quant à ses capacités spirituelles, par le pape Alexandre III, en 1179.
L’Eglise célèbre les Années saintes lorsque le 25 juillet, fête de saint Jacques, tombe un dimanche. Les prochaines années saintes seront célébrées en : 2004, 2010, 2021, 2027...
Le chemin de Saint-Jacques a été déclaré premier Itinéraire culturel européen en 1987 par le Conseil de l’Europe.
Un chemin d'étoiles
Depuis l’antiquité, les hommes ont suivi la route du soleil vers l’occident. La nuit, un torrent d’étoiles signalise dans le ciel la même direction : la Voie lactée, également dite chemin de Saint-Jacques ou Voie des pèlerins, car c’est le chemin que suivaient les pèlerins se rendant à Saint-Jacques-de-Compostelle.
Dès le IXe siècle, les pèlerins parcoururent à pied les chemins d’Europe : on calcule qu’au XIIe siècle, il y en avait 500.000 alors qu’en 1999, cinq millions et demi de personnes ont visité Saint-Jacques-de-Compostelle. Tout au long de l’histoire, ce voyage a eu pour but de visiter la tombe de Saint Jacques le Majeur, l’un des douze apôtres, qui, selon la tradition, est enterré dans la cathédrale de Santiago. De nos jours, les motifs de pèlerinage sont divers, et concernent aussi bien la spiritualité que l’art, mais le chemin de Saint-Jacques est toujours un puissant creuset culturel des différentes terres d’Europe.
Élans de jeunesse
La feuille tendre de navet et celle du chêne sont les emblèmes de la Galice qui se rénove en hiver et en été. Les Galiciens sont de grands amateurs de pomme de terre, mais les feuilles tendres de navet qui poussent de décembre à mars sont un mets qui atteint son apogée dans le « caldo » (bouillon), bouilli avec de la viande de porc salée. Au contraire, la feuille de chêne, un traditionnel symbole culturel issu des vertes chênaies, représente les bois sacrés de la préhistoire, les aires de réunion lors des foires, un site ombré particulièrement accueillant lors des fêtes et l’endroit que la tribu, la paroisse, fréquente tous les ans pour y célébrer une rencontre rituelle comprenant des danses et des repas champêtres typiques. Mais si vous venez en Galice, n’hésitez pas à goûter à tout : dans les bars et les bistrots, vous pourrez déguster les « tapas », des rations peu abondantes et bon marché qui vous permettront de découvrir l’importante et variée gastronomie du pays. Puis vous pouvez déguster des viandes, des rôtis, ainsi que les nombreux produits de la mer dont les fruits de mer qui concentrent mille et une saveurs de l’Atlantique.
La Galice célèbre plus de 4000 fêtes par an, outre un grand nombre de pèlerinages, de fêtes gastronomiques et différentes traditions dont le carnaval.
La Santé
Frais médicaux
Avant de partir, tenez compte de la possibilité de prise en charge des frais médicaux à l’étranger. Par exemple, si vous vivez en France, vous pouvez demander à la sécurité sociale une carte européenne ; cela vous évitera de faire l'avance d'éventuels frais médicaux à l’étranger qui restent, quoi qu'il arrive, à votre charge. Pensez à apporter votre pièce d’identité ou votre passeport.
Les détails pratiques
Pour téléphoner en France
Pour téléphoner à l’étranger, composez l’indicatif international 00, puis l’indicatif du pays souhaité suivi de votre numéro de téléphone en enlevant le premier 0.
BIBLIOGRAPHIE
Le Chemin de Saint Jacques du Puy en Velay à Roncevaux par le GR65, de Louis Laborde-Balen et Tobert Day (Ed. Randonnées Pyrénéennes).
« Guides de poche du randonneur et du pèlerin sur le Chemin de Saint Jacques de Compostelle. » F. Lepère. Ed. Lepère - février 2009.
« Compostelle » Ch. Henneghien et B. Gauthier.Ed Edisud - 2008
« Merveilles des Chemins de Compostelle » P. Huchet et Y Boelle. Ed Ouest France - 2003
ADRESSES UTILES
Météo 08 92 68 02 43 pour le département de la Haute Loire et le 08 92 68 02 48pour le département de la Lozère.
RENFE (compagnie ferroviaire espagnole) Tel : 00 34 902 24 02 02, ou plus pratique, leur site :
http://www.renfe.com avec tous les horaires des trains.
Bureau RENFE à Paris (renseignements et vente) : 01 40 82 63 60.
Compagnie Monbus : www.monbus.es
Une question sur ce séjour ?
Jour 01 : Santiago de Compostella
Arrivée à Santiago de Compostela.
Jour 02 : Santiago - Negreira
Etape de Santiago de Compostela à Negreira en passant par Ponte Sarela, et la petite région d'Amaia, chantée par la poétesse galicienne Rosalìa de Castro.
Vous traverserez le pont médiéval de Aguapesada et dans un paysage de petites montagnes et hameaux vous arriverez à Negreira.
Horaire : 5 h 00 Distance : 21 km
Jour 03 : Negreira - A Picota
En suivant en partie un ancien chemin royal. De belles églises à Zas, à Pena et Vilaserio...
En arrivant à Vilar de Castro, vous emprunterez une variante nouvellement balisée, vous permettant de regagner à Picota, votre étape du soir, et de retrouver le Camino le lendemain matin.
Horaire : 7 h 00 Distance : 28.5 km
Jour 04 : A Picota - Cée
En début d'étape, vous récupèrerez le Chemin initial au niveau du pont de Ponte Olveira. Des hameaux, de petites églises et anciens ponts jalonnent ensuite votre chemin qui débouche à Cée, au bord de la " Ria de Corcubiòn ".
Temps de marche : 6h. Distance : 23km.
Jour 05 : Cée - Fisterra
En passant par la Croix de Marco de Couto et plusieurs ermitages, descente spectaculaire du Mont da Armada vers Fisterra.
Puis vous marcherez jusqu'au mythique Finisterre, la "fin du monde" dans la "Costa da Morte" et pourrez accrocher un morceau de tissu au célèbre phare, tradition chère aux pélerins
Horaire : 4 h 00 Distance : 16 km
Jour 06 : Fisterra
Fin du séjour après le petit déjeuner
Day 01 : Santiago de Compostela
Arrival in Santiago de Compostela.
Day 02 : Santiago de Compostela - Negreira
From Santiago to Negreira. You'll pass by Ponte Sarela and the region of Amala know from the poems of the galician poet Rosalia de Castro. After crossing the medieval bridge of Aguapesada you continue your walk among small mountains and villages to Negreira.
Walking time : 5h. Distance : 21km.
Day 03 : Negreira - A Picota
From Negreira to Abeleiroas partly on the Camino Real with beautiful churches in Zas, Pena and Vilaserio. At Abeleiroas you'll meet the owner of the accommodation who'll drive you to his hotel in Picota (3km).
Walking time : 7h. Distance : 28.5km.
Day 04 : A Picota - Cée
From Abeleiroas to Cée. You are brought back to Abeleiroas to continue your walk through villages with their small chuches and ancient bridges to Cée situated by the "Ria de Corcubiòn".
Walking time : 6h. Distance : 23km.
Day 05 : Cée - Finisterra
Walking by the Cross of Marco de Couto and several hermitages you'll escend the spectacular Mount da Armanda towards Fisterra to finaly arrive at the mythical Finisterre ; "the end of the world" at "Costa da Morte". End of trip. Optional night in Finisterre upon request and with supplement.
Walking time : 4h. Distance : 16km.
COMPLEMENT DE PROGRAMME
Des éléments indépendants de notre volonté (météo, niveau du groupe, aléa logistique, divers...) peuvent amener notre équipe à modifier le programme. Nous demeurerons attentifs à votre satisfaction mais votre sécurité sera systématiquement privilégiée.
Prestations particulières : Sur demande, nous pouvons réserver une ou plusieurs nuits supplémentaires.
LES POINTS FORTS
- La fiabilité de l’organisation
- La qualité des hébergements
- Les dîners inclus
- Dernière nuit incluse pour profiter du site magique du Cap Finisterre
POUR EN SAVOIR PLUS
FORMALITES
Demandez impérativement, au minimum 15 jours avant votre départ, à la sécurité sociale une carte européenne ou une attestation européenne valable 3 mois ; cela vous évitera de faire l'avance d'éventuels frais médicaux en Espagne qui restent, quoi qu'il arrive, à votre charge. Pensez à apporter votre pièce d’identité ou votre passeport.
Sachez enfin que si vous venez en Espagne en voiture, il est obligatoire d’avoir 2 triangles de signalisation dans son véhicule et 1 gilet de signalisation réfléchissant ; en cas de non-respect de cette réglementation, les amendes sont élevées, et doivent être payées sur place. Ne vous séparez jamais de vos papiers, carte bancaire et documents d’assurance.
Frais médicaux
Avant de partir, tenez compte de la possibilité de prise en charge des frais médicaux à l’étranger. Par exemple, si vous vivez en France, vous pouvez demander à la sécurité sociale une carte européenne ; cela vous évitera de faire l'avance d'éventuels frais médicaux à l’étranger qui restent, quoi qu'il arrive, à votre charge. Pensez à apporter votre pièce d’identité ou votre passeport.
Le carnet du pèlerin ou « credencial » ou « créanciale » :
ce document est bien connu des pèlerins, il permet de garder une trace écrite de son parcours. Ce passeport est un signe fort d’appartenance à la communauté des marcheurs du Saint Jacques. Il est à tamponner à chaque étape et atteste de votre état de pèlerin. Il est délivré par les associations jacquaires - site Internet :
Environnement :
Les randonnées se déroulent le plus souvent dans des espaces naturels sensibles ; à ce titre toute activité se doit d'en respecter l'environnement : respect du patrimoine naturel, respect du patrimoine culturel et des habitants, respect des ressources naturelles (eau, sols, habitats, faune, flore, climat) et lutte contre les pollutions et tous les impacts sur l'environnement : on ne dérange pas les animaux qui sont chez eux et on n'arrache pas les fleurs car elles ne repoussent pas !
TELEPHONE PORTABLE
Attention, les téléphones portables ne passent pas partout, il est prudent de se munir d’une carte téléphonique.
POUR TELEPHONER EN FRANCE
Pour téléphoner en France depuis l’Espagne, composez l’indicatif international 00, puis l’indicatif de la France 33, puis votre numéro de téléphone en enlevant le premier 0.
LA VIE EN ESPAGNE
Vous allez effectuer une randonnée en territoire espagnol. Il est conseillé de parler un peu espagnol pour mieux apprécier le séjour, sans toutefois devoir manier à la perfection la langue de Cervantès. Un petit dictionnaire français/espagnol ne sera pas superflu. La monnaie est l’Euro. Sachez aussi que les habitudes culinaires espagnoles sont parfois assez différentes des françaises. Et que les repas sont retardés jusqu’à 2 heures sur l’horaire français (petit-déjeuner vers 8h30-9h et le souper vers 21h).
INFORMATION SUR LA REGION
LA GALICE
La région et le climat :
Le climat de la Galice est assez doux. Il n’y fait jamais ni trop froid ni trop chaud, avec une température moyenne de 14,4º C. Précipitations moyennes : 1404,8 l/m2. Alors… n'oubliez pas la cape de pluie !!!
Le Pays d'Occident
Sous la lueur obscure et mystérieuse de l’Atlantique, à l’extrémité occidentale de l’Europe, il y a un pays de verdure qui s’incline devant l’Océan. C’est ici que les Grecs situèrent le bout du Monde Ancien. Homère affirmait que le soleil y complétait son tour avait de ressortir en orient, le lendemain. Située au sud de la mer Celtique, au nord du pourtour méditerranéen, la Galice a forgé une culture à la croisée de ces deux mondes. Au nord du Portugal, au nord-ouest de l’Espagne, il y a un petit pays - à peine trois heures en voiture pour le parcourir du nord au sud - qui se distingue par ses contrastes et ses surprises à chaque détour. Les Galiciens aiment à dire que chaque maison est un monde, que chaque pierre a une histoire et que chaque herbe cache un espace naturel. La Galice, un pays marqué par un fonds inépuisable d’expériences.
Là où commence la mer
"Face à cette mer déchaînée, les Galiciens, nous sentons toute l’Europe derrière nous." Ce pays renferme les falaises les plus hautes du continent, mais il est aussi marqué par l’union féconde de la mer et de la terre, les "rías", de singulières formations où l’océan se calme pour pénétrer à l’intérieur du pays, qui y fait surgir la vie qui coule dans les rues des villages marins et sur le sable infini des plages du littoral. C’est ici, entre les détours que forme la géographie baroque de la côte, que résident la plupart des Galiciens, qui jettent à la mer mille et une saveurs, une richesse de poissons et de fruits de mer, transformés en les plus savoureux du monde par les eaux de l’Atlantique.
Plus de la moitié du territoire est situé à plus de 400 m d’altitude. Les sierras orientales renferment les plus grands sommets dont Pena Trevinca, qui atteint 2.100 m.
Avec à peine 5,90% de la superficie de l’Espagne, la Galice renferme plus de la moitié des agglomérations de l’Etat espagnol. En 1996, elle en comptait 20.947 dont certaines d’une seule maison.
Le territoire du pays compte 3.781 paroisses (unité de base de la population, articulée autour d’une église), 315 mairies, 53 contrées et 4 provinces.
La masse forestière de la Galice représente 30% du total de tout le territoire espagnol.
Le lait produit en Galice représente 30% du total de la production espagnole.
Une terre humanisée
De vieilles montagnes au relief usé par l’érosion et des vallées à la végétation luxuriante où coulent mille rivières. La verdure claire des prairies, le vert émeraude des cultures, le vert foncé des forêts. Ici et là, se dressent de petites propriétés où l’on cultive la pomme de terre, le maïs, ainsi que des vergers et des vignobles, des cultures qui ennoblissent les rives des grands cours d’eau. Sur les coteaux, la masse forestière, au milieu, les prairies où paissent les vaches, les animaux totémiques de la Galice agricole. Voilà un paysage que les Galiciens considèrent volontiers humanisé, où les distances ne sont jamais très grandes et où les sites sauvages ne sont jamais très étendus. Dans les endroits les plus éloignés, les terrains rocailleux, la forêt ancienne et mystérieuse.
Les forges de la force
Le sang des paysans coule toujours dans les rues des villes et des grandes agglomérations : nos aïeux étaient des paysans. Quatre-vingt-dix pour cent de la population galicienne habitait encore le milieu rural en 1900. Mais de nos jours, la plupart des Galiciens habitent le milieu urbain. Le pays s’accroît dans des villes qui ont grandi autour de centres historiques d’une grande beauté, où surgit la créativité économique et culturelle du pays. Cet essor atteint des proportions universelles dans des endroits comme la vieille ville de Saint-Jacques-de-Compostelle -la capitale historique et administrative-. Tournées vers la mer, La Corogne et Vigo sont les deux principales agglomérations du pays ; Lugo, Ourense, Pontevedra et Ferrol se distinguent par leur activité industrielle et de services, outre leur traditionnelle fonction administrative. Dans toute la Galice, les cités médiévales conservent leur charme tout en se développant à l’instar des villes surgies au XIXe siècle. Elles jouent un rôle à la fois industriel et local.
Tradition et innovation
On dit des Galiciens qu’ils répondent toujours à une question par une autre question. Même dans les paroles de l’ hymne de Galice, le poète Pondal interroge les arbres, les sommets et les montagnes, l’éclair transparent. Les Galiciens sont curieux et d’habitude, lors d’une simple conversation, le voyageur finit toujours par parler de lui, de son pays, de son travail. La vie tourne aussi autour du travail. Une tradition agricole et de pêche, modernisée depuis, veut que les Galiciens érigent des industries basées, non seulement sur leurs propres ressources, mais encore sur l’innovation et la créativité. L’industrie agro-alimentaire est celle qui compte le plus d’entreprises et de travailleurs, à tel point que son origine remonte à la salaison et à la conservation du poisson, au XVIIIe siècle. Les chantiers navals sont dirigés vers l’exportation et atteignent de nos jours un degré de spécialisation qui lui accorde une productivité élevée. Mais c’est le secteur automobile qui arrive en tête en ce qui concerne le chiffre d’affaires et les exportations ; la situation stratégique de la Galice sur les routes maritimes a favorisé l’aménagement d’une usine qui produit des milliers de voitures par jour. Pourtant, c’est la créativité des firmes de mode qui a permis à la Galice d’obtenir une plus grande présence publique sur les marchés du monde entier.
La partie de l’ancienne Galice située au sud du fleuve Minho devint le royaume du Portugal en 1121. L’église romane la plus ancienne de Galice est la petite chapelle de San Juan de Vilanova, Pontedeume, qui remonterait à 1040.
En 1075, fut posée la première pierre de la cathédrale romane de Saint-Jacques-de-Compostelle, consacrée en 1211.
Une chanson de Xoán Soares de Pavia, composée en 1196, est le texte littéraire galicien le plus ancien que l’on conserve. On a répertorié 170 auteurs de chansons médiévales.
Le galicien est la langue de Galice, mais les Galiciens parlent également le castillan.
Les enfants de Bréogan
C’est un ancêtre de Brutus, l’assassin de César, le premier général romain à atteindre la Galice en 139 av. J.-C.. Le poète Ovide raconta de la sorte cette rencontre : -à l’époque, Brutus prit le surnom de son ennemi galaïque et fit couler le sang sur les terres hispaniques-.
Cela faisait 4000 ans que la culture mégalithique existait dans ce pays, comme en témoignent les dolmens ; cela faisait 2000 ans qu’un ancêtre quelconque avait peint des cerfs, des hommes et des cercles sur les pierres plates de granite. ; cela faisait déjà sept siècles que les camps fortifiés de l’âge de fer avaient été érigés sur les coteaux galiciens : Jules César dut les affronter en débarquant dans l’ancienne ville de La Corogne. À la fin du I siècle av. J.-C., Auguste prit la tête de son armée pour intégrer définitivement dans l’Empire les Galiciens des « castros » (camps fortifiés), les descendants du mythique roi Breogán que citent les chroniques irlandaises et auquel le poète Eduardo Pondal rend hommage dans l’hymne galicien.
Le sourire de Daniel
Les Galiciens considèrent le bas Moyen Age comme leur siècle d’or. C’est une période de prospérité dans toute l’Europe. L’agriculture se développe et se modernise, le commerce se généralise et l’art connaît un essor florissant dans tout le continent, en apprenant à sourire avec la figure de Daniel sur le Porche de la Gloire (1188) de la cathédrale Saint-Jacques, qui était tombé dans l’oubli pendant trois siècles ; l’art roman, devenu le style international par excellence, atteint précisément son apogée dans le royaume médiéval de Galice. La grande créativité collective des Galiciens remonte également à cette époque : c’est alors qu’ils commencent à parler le galicien, une langue romane issue du latin et similaire au portugais. Cette langue atteint sa maturité littéraire au XIIIe siècle, avec les chansons dites "cantigas" qui constituent un énorme recueil de poésies composées par des rois, des nobles et des troubadours. Il s’agit donc d’un patrimoine d’une valeur extraordinaire pour l’histoire littéraire de l’Europe. Saint-Jacques-de-Compostelle fut comparée à Rome et à Jérusalem, quant à ses capacités spirituelles, par le pape Alexandre III, en 1179.
L’Eglise célèbre les Années saintes lorsque le 25 juillet, fête de saint Jacques, tombe un dimanche. Les prochaines années saintes seront célébrées en : 2004, 2010, 2021, 2027...
Le chemin de Saint-Jacques a été déclaré premier Itinéraire culturel européen en 1987 par le Conseil de l’Europe.
Un chemin d'étoiles
Depuis l’antiquité, les hommes ont suivi la route du soleil vers l’occident. La nuit, un torrent d’étoiles signalise dans le ciel la même direction : la Voie lactée, également dite chemin de Saint-Jacques ou Voie des pèlerins, car c’est le chemin que suivaient les pèlerins se rendant à Saint-Jacques-de-Compostelle.
Dès le IXe siècle, les pèlerins parcoururent à pied les chemins d’Europe : on calcule qu’au XIIe siècle, il y en avait 500.000 alors qu’en 1999, cinq millions et demi de personnes ont visité Saint-Jacques-de-Compostelle. Tout au long de l’histoire, ce voyage a eu pour but de visiter la tombe de Saint Jacques le Majeur, l’un des douze apôtres, qui, selon la tradition, est enterré dans la cathédrale de Santiago. De nos jours, les motifs de pèlerinage sont divers, et concernent aussi bien la spiritualité que l’art, mais le chemin de Saint-Jacques est toujours un puissant creuset culturel des différentes terres d’Europe.
Élans de jeunesse
La feuille tendre de navet et celle du chêne sont les emblèmes de la Galice qui se rénove en hiver et en été. Les Galiciens sont de grands amateurs de pomme de terre, mais les feuilles tendres de navet qui poussent de décembre à mars sont un mets qui atteint son apogée dans le « caldo » (bouillon), bouilli avec de la viande de porc salée. Au contraire, la feuille de chêne, un traditionnel symbole culturel issu des vertes chênaies, représente les bois sacrés de la préhistoire, les aires de réunion lors des foires, un site ombré particulièrement accueillant lors des fêtes et l’endroit que la tribu, la paroisse, fréquente tous les ans pour y célébrer une rencontre rituelle comprenant des danses et des repas champêtres typiques. Mais si vous venez en Galice, n’hésitez pas à goûter à tout : dans les bars et les bistrots, vous pourrez déguster les « tapas », des rations peu abondantes et bon marché qui vous permettront de découvrir l’importante et variée gastronomie du pays. Puis vous pouvez déguster des viandes, des rôtis, ainsi que les nombreux produits de la mer dont les fruits de mer qui concentrent mille et une saveurs de l’Atlantique.
La Galice célèbre plus de 4000 fêtes par an, outre un grand nombre de pèlerinages, de fêtes gastronomiques et différentes traditions dont le carnaval.
La Santé
Frais médicaux
Avant de partir, tenez compte de la possibilité de prise en charge des frais médicaux à l’étranger. Par exemple, si vous vivez en France, vous pouvez demander à la sécurité sociale une carte européenne ; cela vous évitera de faire l'avance d'éventuels frais médicaux à l’étranger qui restent, quoi qu'il arrive, à votre charge. Pensez à apporter votre pièce d’identité ou votre passeport.
Les détails pratiques
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BIBLIOGRAPHIE
Le Chemin de Saint Jacques du Puy en Velay à Roncevaux par le GR65, de Louis Laborde-Balen et Tobert Day (Ed. Randonnées Pyrénéennes).
« Guides de poche du randonneur et du pèlerin sur le Chemin de Saint Jacques de Compostelle. » F. Lepère. Ed. Lepère - février 2009.
« Compostelle » Ch. Henneghien et B. Gauthier.Ed Edisud - 2008
« Merveilles des Chemins de Compostelle » P. Huchet et Y Boelle. Ed Ouest France - 2003
ADRESSES UTILES
Météo 08 92 68 02 43 pour le département de la Haute Loire et le 08 92 68 02 48pour le département de la Lozère.
RENFE (compagnie ferroviaire espagnole) Tel : 00 34 902 24 02 02, ou plus pratique, leur site :
http://www.renfe.com avec tous les horaires des trains.
Bureau RENFE à Paris (renseignements et vente) : 01 40 82 63 60.
Compagnie Monbus : www.monbus.es
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